EtCelterra lives on

For a while I’ve been concerned that our Irish band wasn’t long for this world. Jacques, our front man and driving force, who plays an array of penny whistles, mandolin and chanter amongst other things, is selling up and hopes to move to Majorca in the next couple of years. And if that weren’t bad enough, Alain, a lynchpin as he plays guitar, fiddle and banjo, recently announced that although he can still come to rehearsals, he can no longer play gigs. That only left a few, lesser-talented individuals, not a band.

But then I remembered a fiddle player who joined in with us one evening a couple of years ago; he seemed very talented and picked things up very quickly. A couple of phone calls and I’d got his phone number.

I dithered for ages; would he be interested? Would he fit in? And how would it change the dynamics of the band to add another English member? Up to now it’s very much a French band with a few foreigners, but without Jacques and Alain the balance will be very different. But then again, went the argument, if the alternative is no band at all, what had we to lose? I plucked up my courage and phoned; his wife, Vera, answered, she was sure Lester, her husband, would be delighted by the invitation. He plays not only fiddle, but also mandolin and banjo – perfect! As an added bonus, Vera herself plays piano accordion, which will add an extra dimension to our sound.

They’ve been to two rehearsals now; lovely people, they fit in perfectly and seem really committed to learning the music as well as improving their French, so we need to translate less for them. But as they say, music is an international language.

Pendant quelques semaines, je m’inquietais que notre groupe irlandais ne pourrait pas continuer. Jacques, notre force motrice, qui joue un tableau de flutes, la mandoline et le bombard entre autres choses, espère démenager à Majorque dans les deux prochaines années. Et si cela ne suffisait pas, Alain, un pivot parce qu’il joue de la guitare, le violon et le banjo, a récemment annoncé que, même s’il peut toujours venir aux répétitions, il ne peut plus jouer aux concerts. Il nous restait seulement quelques individus, moins talentueux; pas un groupe.

Mais je me rappelai à un monsieur, une violiniste qui a rejoint avec nous un soir, il ya quelques années; il me semblait très talentueux et a appris très rapidement les pièces de musique que nous jouions. Quelques appels téléphoniques et j’avais obtenu son numéro de téléphone.

Je tergiversé pendant quelques jours;  s’intéresserait-il?  S’intégrerait-il? Et comment serait-il changer la dynamique de la bande à ajouter un autre membre anglais? Jusqu’à présent, il est vraiment un groupe français avec quelques étrangers, mais sans Alain et Jacques la composition sera très différent. Mais, si l’alternative est pas de groupe du tous, que-ce que nous avions à perdre? J’ai pris tout mon courage et je lui ai appelé; sa femme, Vera, a répondu, elle était sûre que Lester, son mari, serait ravi de l’invitation. Il ne joue pas seulement du violon, mais aussi de la mandoline et du banjo  – parfait! Comme un bonus supplémentaire, Vera joue de l’accordéon, qui va ajouter une dimension supplémentaire à notre son.

Jusqu’à maintenant ils sont venus à deux répètes; des gens charmants, tout le monde s’entende bien et ils semblent vraiment déterminés à apprendre de la musique ainsi qu’ameliorer leur français, donc nous aurons besoin de traduire moins pour eux; mais comme on dit, la musique est une langue internationale.