Let battle commence!

There’s little love lost between the goose and myself; it’s an aggressive creature that attacks anyone who isn’t Nick and I think sees me as a rival for his affections. It even cornered me in my workshop last week when I was filling joints (in the plasterboard); fortunately there was a sweeping brush handy that I could use to fend it off until Kieran came to my rescue.

It was time to give the grass in the park its first cut of the year; with all the rain we’ve had, followed by the warm sun of the last week, it was getting really long. I decided to collect the cuttings as they would be too long to mulch down if left, so I put the collecting box on the back of the tractor. I never go into the park without a big stick, so I can protect myself from the goose if necessary, but normally, it leaves me alone if I’m on the mower. Today, though, was different; halfway across the garden, it decided to make its move, hurtling across the grass towards me and pecking viciously at the tractor tyres and engine cover. At least it wasn’t me this time, I thought, once I’d beaten it off with the stick. But a minute later, the tractor engine cut out, leaving me stranded in the middle of the park, with an angry looking goose hovering nearby. I considered my chances of reaching the gate safely, but the beast was between me and my emergency exit and Nick had gone into Nogaro to buy breeze blocks, so no help was at hand. The mower wouldn’t start again; I knew I’d have to dismantle it and clear the damp grass from its innards, a task that takes at least 5 minutes. There was nothing else for it; I’d have to leave the relative safety of the mower seat and take my chances out in the wild. I got down, clutching my stick and looking as mean as I could, I surrounded myself with pieces removed from the mower, all the time keeping an eye on the goose. It stood and watched with one beady eye for a while, but then started lowering its head, hissing and edging towards me. I stood firm, holding the length of bamboo ready to ward off the approaching enemy; but to my relief and amazement it slowed, stopped and eventually backed off. A small battle won, though not, I suspect, the war.



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Le jar et moi-même nous detestons cordialement; c’est une créature agressive qui attaque quiconque n’est pas Nick et je pense me voit comme un rival pour son affection. Il m’a même acculé dans mon atelier la semaine dernière quand je remplissais joints dans la plaque de plâtre; heureusement il y avait une brosse de balayage maniable que je pourrais utiliser pour le repousser  jusqu’à Kieran est venu à mon secours .

Il était temps de couper l’herbe au parc pour la première fois de l’année; avec toute la pluie que nous avons eu, suivie par le chaud soleil de la semaine dernière, il est devenu vraiment longue. J’ai décidé de recueillir les tontes car ils seraient trop longs à composter si je les avais laissé, donc j’ai mit le truc que collecte l’herbe à l’arrière du tracteur. Je ne vais jamais dans le parc sans un gros bâton, donc je peux me protéger contre le jar si nécessaire, mais normalement , il me laisse seule quand je suis à la tondeuse . Aujourd’hui, cependant, était différent; mi-chemin à travers le jardin, il a décidé de faire son mouvement, dévaler à travers l’herbe vers moi et picorer méchamment les pneus du tracteur et le capot du moteur. Heureusement ce n’était pas moi cette fois, j’ai pensé, une fois que je l’avais battu avec le bâton. Mais une minute plus tard, le moteur du tracteur s’est arreté, me laissant brin au milieu du parc, avec un jar en colère tout près. J’ai considéré la possibilité d’atteindre le portail en toute sécurité, mais la bête était entre moi et ma sortie de secours et Nick était allé à Nogaro pour acheter des parpaings, donc aucune aide n’etait disponible. Je ne pouvais pas rallumer la tondeuse; je savais que je dois la démonter et enlever l’herbe humide de ses entrailles, une tâche qui faut au moins 5 minutes. Il n’y avait rien d’autre à faire, je dois quitter la sécurité relative du siège de la tondeuse et prendre mes chances dans la nature. Je suis descendue, serrant mon bâton; je me suis entourée de pièces retirées de la tondeuse, tout le temps en gardant un œil sur le jar. Il est resté sur place, en me regardant d’un œil de fouine pendant un certain temps, mais ensuite il a commencé baisser la tête et faire des sifflements quand il m’approchait. Je suis restée ferme, tenant la longueur de bambou prêt à parer l’ennemi, mais à mon grand soulagement et d’étonnement, il a ralenti, s’est arrêté et finalement fait marche en arrière . Une petite bataille gagnée, mais pas, je crois, la guerre .